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The "Happiest Man in the World" de la talentueuse réalisatrice Teona Strugar Mitevska au ci

En tant que partenaire de promotion du distributeur Trigon Film, la Commission Brassards Blancs soutient activement la sortie de ce magnifique film en Suisse romande et plus précisément :

  • Fribourg, Rex: le 16 mars, AP en présence de la réalisatrice

  • Genève Bio: dès le 29 mars

  • Genève, AP au FIFDH: le 13 mars

  • Genève, AP au FIFDH: le 15 mars en présence de la réalisatrice

  • Genève, Grütli: dès le 29 mars

  • La Chaux-de-Fonds, ABC: dès le 29 mars

  • Lausanne, Galeries: dès le 29 mars

  • Le Sentier, La Bobine: le 3 avril

  • Neuchâtel, Rex: dès le 30 mars


Telle une thérapie, ce film s’impose comme une prise de conscience collective des conséquences à court, moyen et long terme de la guerre et du génocide commis dans les 1990.



Il est impossible de mettre fin à une guerre sans guérir la douleur, les pertes et les traumatismes. J’espère que mon film y contribuera. Teona Strugar Mitevska

Résumé

Asja, la quarantaine et célibataire, se rend à une journée de speed dating. Elle y rencontre Zoran, un homme de son âge, mais celui-ci est plus en quête de pardon que d’amour.


Asja est accueillie par Marta et Mersiha, cordiales animatrices habillées en robes léopard. Comme les autres prétendantes et prétendants, Asja doit revêtir une blouse rose pâle et prendre place dans une salle de conférence malicieusement nommée le Salon Zurich, à une table pour deux. Elle rencontre Zoran, maigre quadragénaire, et les animatrices lancent une série de questions sur la vie, les hobbys et la religion, auxquelles chaque couple doit répondre pour apprendre à se connaître.


Avec le concours d’actrices et acteurs d’une justesse rare, Teona Strugar Mitevska nous immerge ainsi dans un microcosme de la société bosnienne actuelle, dont elle fait miroiter le passé dramatique. Grâce à une mise en scène toujours en mouvement guidée par les interactions de ses personnages et leur immédiateté, la cinéaste fait imploser son assemblée d’âmes esseulées à mesure que ressurgissent les traumatismes, en faisant preuve d’une ironie qui permet la bonne distance et n’empêche jamais l’émotion.


Plus d'informations sur le film et les projections :


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